━━ jeune pousse ━━
✧ Disponibilité : ✧ Arrivé le : 30/01/2018 ✧ Messages : 20 ✧ Avatar : Lee Sang-Min ✧ Multicompte : Dae-Sung Lee le boloss ✧ Fiche : attends jte raconte ✦ j'ai un beau carnet d'adresses ✦ on se cale un rdv ?✧ Couleur : 8c8cff✧ Rps en cours : clyde tanoshi ✦ seng liu✧ Âge : 44 ans. ✧ Occupation : Producteur pour une chaîne télé astérienne de divertissement (produit surtout des talks-shows des séries et des jeux télévisés) ; obligé de résoudre tous les problèmes, gérer les castings, les invités, le financement, etc. | Sujet : touchez pas au grisbi ! Mar 30 Jan - 2:53 j'suis pas heureux mais j'en ai l'air qu'est-ce que tu veux mon vieux ? dans la vie on fait ce qu'on peut pas ce qu'on veut ─ gyeong-ho jin ─ ft. lee sang-min déterminé ✦ beaucoup trop à l'aise ✦ bon feeling social ✦ ne recule jamais ✦ accroché à son honneur ✦ instincts maternels avec les plus faibles On te la fait pas, à toi. T'es pas né de la dernière pluie et on a pu essayer de profiter de ta naïveté dans te jeunesse mais tu as du triompher de tant d'obstacles que tu es devenu un pro de la survie. Mais la survie, ce n'est plus être capable de se nourrir dans la jungle et faire du feu. C'est dépassé ça, ça date de milliers d'années. Non, la survie, maintenant c'est savoir où on se trouve dans la société et savoir qui est plus fort et qui est plus faible. Savoir sur qui on peut compter, et de qui il faut se méfier comme la peste. Ne pas trop le montrer, surtout, avoir assez de tchatche pour le cacher car quelqu'un qui analyse tout, c'est dangereux. Ce sont les premières personnes dont tu te méfie, d'ailleurs, car tu sais que comme toi, elles ont un but bien précis et que bien peu de choses peu les arrêter. Les forts, s'ils te dominent trop, tu les respecte, tu t'écrases. Ceux qui sont un peu trop proches de toi, un peu trop menaçant... Tu les écrases. Y'a pas assez de place pour tout le temps et tant pis pour les bons sentiments, ça fait peut être un peu mal sur le coup mais tu as encore toute une vie devant toi et un avenir à assurer. Les plus faibles, ceux que tu domines sans même te forcer... Tu as des faiblesses, tu as envie de les aider, ceux là. Ils te rappellent un peu ta jeunesse, même s'ils n'ont pas cette rage de tout surpasser, ce moteur qui t'a tiré vers le haut. Ils n'ont pas eu la chance d'avoir ta détermination alors un petit coup de pouce de temps en temps, ça ne fait pas de mal. Dans ton boulot, tu gères les programmes mais tu t'es vite retrouvé à t'occuper aussi des jeunes qui débarquent. Leur payer à boire de temps en temps pour passer une bonne soirée ou leur donner de quoi ne pas se faire dévorer tout cru par le présentateur vedette, c'est ta petite contribution, ta bonne action quotidienne. Tu y penses beaucoup, à ton boulot. Même quand tu rentres chez toi, il ne sort pas de ta tête, il faut penser à ce qu'il faut faire demain et les rendez à prendre et... Tu as trouvé ce job un peu par hasard, tu ne sais même pas ce qui t'as démarqué des autres et qui t'as favorisé mais tu dois tout à ce travail. Ta situation aujourd'hui, la relative tranquillité à laquelle tu aspires... Tout ça, ce ne serait pas possible sans ça. Alors même si tu n'aimes pas trop t'aplatir devant les pontes, tu le fais car tu aimes vraiment bosser. Y'a pas à dire, un tel sens de la loyauté et une telle fidélité, dans cette économie, c'est assez rare pour être remarqué. Certains pensent que c'est ton moyen de te faire bien voir pour rafler les promotions et les postes, mais ça n'a rien à voir, c'est beaucoup plus profond que ça. Au fond... Ce qui te fais tenir, c'est le but, certes, mais le chemin est si long et tortueux que ce qui t'empêche de t'écarter du sentier, ce qui te fais tenir le cap, c'est de garder les mêmes principes. En te forçant à rester le même, au fond de toi, tu évites de dériver. Pas de compromis. Surtout pas. Le premier et c'est la porte ouverte pour tous les abus et te voilà alors déjà enseveli sous les problèmes et tu ne peux même plus sortir la tête hors de l'eau. Alors il faut tenir, se tenir. Ce ne sont pas forcément les principes de la société, après tout tu n'hésites pas une seule seconde à mentir, mais donner sa parole, c'est quelque chose d'autre. Être fidèle à soi et à ceux qu'on engage, qu'on côtoie, qu'on les aime ou pas, c'est un effort mais tu penses que c'est ce qui t'as aidé à rester bien vivant. S'accrocher à ça, mais pas à des rêves trop ambitieux, trop grands, irréalisables. Tu n'as pas envie d'être déçu, de rater quelque chose. Ton seul vice, c'est l'importance que tu accordes à l'honneur. Tu as connu une autre période, où l'on pouvait encore entendre parler de défendre son honneur et de ne pas plier à la moindre bourrasque, mais tu y tiens aussi dur comme fer, quitte à être démodé ou vieux jeu (ce n'est plus un risque, rassure toi, tu es une antiquité maintenant pour les jeunes), quitte à t'en mordre les doigts derrière et tout faire pour réparer les pots cassés. Se sape très mal. Disons que... T'es aveugle ? Enfin, bon, c'est beau, hein, c'est flamboyant, tu as de la personnalité mais... Dur de passer inaperçu. Pire que les yakuzas des années 90. ✦ Cernes de panda. Ok, tu es très fort et tu survis à tout et personne ne t'enterrera. Personne à part le manque de sommeil, peut être. ✦ Fort accent. Alors là, t'as beau t'être échappé de la campagne coréenne mais elle ne t'as pas quitté, ça s'entend tout de suite. ✦ Vit mal sa presbytie. T'as du mal à les mettre, tes lunettes, pourtant tu auras beau t'esquinter la vue autant que tu veux, ça va pas t'aider à voir. ✦ Manque 2 phalanges à son auriculaire droit. T'es doué pour mentir mais tu as du mal à le cacher, ça. Heureusement que tu es plus souvent derrière que devant une caméra, hein ? ✦ Humour affligeant. T'es un rigolo. Enfin... Tu ris à tes blagues, c'est déjà ça, mais c'est pas le cas de tout le monde. Tu infliges les blagues les plus nulles et les plus crasses sans même te rendre compte de la nuisance que tu es. groupe : ancien condamné, tu t'en es sorti. quelle fierté. maintenant, tu te venges. légitime défense, tu voudrais te débarrasser de ceux qui te menacent trop. collectionneur, tu n'aimes pas le terme, mais que veux tu. prénom(s) nom : gyeong-ho gin âge : 44 années de labeur. de quoi sacrément s'endurcir le cuir. date de naissance : 27 novembre 1974. lieu de naissance : selon tes dires... "un patelin au nord de Sokcho. pourquoi, tu veux me ramener des souvenirs ?". nationalité : coréen. occupation : producteur de programmes pour une chaîne de télé astérienne. situation familiale : divorcé deux fois. à la tête d'une fratrie de deux frères et une sœur que tu mènes d'une main de fer. les parents, ils existent, quelque part au loin. situation monétaire : tu as connu bien pire, mais ça reste un torrent plutôt qu'un fleuve tranquille. taille : 1m66. pas assez pour vous regarder de haut mais assez pour vous toiser. nom de l'astre : une météorite. mais peu importe son nom, tu as gagné. (ça, c'est ce que tu te dis, mais au fond, 2012 TC4, c'est resté gravé dans tes tripes, tu n'oublieras jamais un tel affront) t'es un winner. tu vois tout ces nullos tapis dans le restaurant, qui boivent sans trop assumer pour oublier leur vie et leurs problèmes et leur femme qui va les emmerder dès qu'ils franchiront le seuil de la porte de leur maison minable dans un quartier pourri rempli de vieilles à chats qui vont surement se faire toquer par une épave de voiture s'ils traversent sans faire gaffe. Toi, tu bois, mais pour fêter les victoires. Ta vie, tu ne veux surtout pas t'en échapper. Pas maintenant, pas quand tout va si bien. Même quand tout va mal, tu tiens la barre. Tu cherches comment remonter, tu frappes le fond de toutes tes forces quand tu coules et tu te débats jusqu'à atteindre la rive. T'es rarement au sec mais tu sais que tu peux combattre même le courant le plus déchainé. t'as tout surmonté, alors tu attends la prochaine couille de pied ferme, même si tu aimerais tant rester à l'abri loin de tout ça. Vivre ta vie, tranquillement, sans rien demander à personne.
t'es parti de ce village minable, de la faim qui tenaillait, de la campagne mortelle. de ce pays, emmené dans celui qui offre tant d'opportunités. t'as tenu pendant la guerre, vous faisiez pas les fiers mais vous êtes encore tous là. pas sortir tard la nuit, surtout, et pas dans le mauvais quartier et attention mon chéri rentre vite et change de route toutes les semaines et peut être qu'on devrait se débarrasser de l'autel qu'on a dans le salon mon amour qu'en penses-tu, on a des enfants, ils sont notre avenir, ils passent avant notre passé ? A n'en plus finir, tu entends en boucle ta mère, tes oreilles en sifflent encore des années plus tard. t'as survécu à l'amour, tu es tombé vite et fort pour cette fille, mariés si tôt que tout le quartier se moquait de vous. partie si vite aussi, tu revois la lettre sur le lit et les armoires vidées et tu ne regrettes presque pas. Parfois tu penses à elle et à sa robe d'été lors de vos vacances passées ensemble, avant les cris et les soupirs. Et le silence. C'était le pire, le silence. Elle avait abandonné et toi aussi et tant pis, la vie continue. l'humiliation aussi, tu l'as surmontée. Faire de belles courbettes devant les gros bonnets de la chaine, ça fait mal au ventre, ça te prend dans l'abdomen et remonte jusque dans tes mâchoires, mais maintenant tu as grimpé les échelons. Maintenant on a besoin de toi. tu penses aux secrétaires qui se jette sur toi dès que tu mets les pieds au travail, avec 3 problèmes majeurs à régler avant même de commencer les réunions. Les auteurs, il faut toujours leur botter le train pour qu'ils pondent les scripts plus vite et la dernière actrice fait ses caprices habituels et refuse de venir sur le lieu de tournage et... la journée est déjà finie mais ton téléphone n'a pas fini de sonner. Il ne s'arrête jamais. Mais tu tiens le coup, le manque de sommeil, ce n'est pas grand chose. Ce boulot t'as sorti des nouilles instantanées et des soupes diluées trois fois, alors tu bosses dur, loyalement. Tout pour la boîte. Au fond, tu penses très fort à ta retraite et à la maison au bord de la mer que tu voudrais acheter, mais tu sais très bien que tu va sûrement claquer avant d'atteindre la retraite. Ou plutôt que tu n'arriveras pas à t'arrêter de bosser. la vie t'en as envoyé des belles, mais tu répliques toujours. ça fait mal, oui, mais l'important c'est d'avancer. Ne pas s'arrêter, se lamenter, chercher à revenir en arrière ou prendre le temps de panser ses blessures car c'est là qu'on se fait avoir. La défaite, c'était un sport familial, alors tu comptes bien briser le destin et t'élever au dessus de tout ça. t'as lâché tout ce qui te ralentissait sans t'y accrocher car tu sais que si tu perds ton avance, tu vas vite être rattrapé par les emmerdes et ça, c'est impossible à envisager. Tu la mérites, cette vie tranquille ! Ah, ça, tu la mérites. Alors autant ne pas trop s'accrocher à ce qui t'entoure. Ton petit doigt droit ? Tant pis, pas besoin ! Qu'est-ce que c'est, quelques phalanges, comparé au fait de ne plus se faire ennuyer par la pègre ? voila. que dalle. une vie de famille ? Pff, alors que tu pourrais gagner ta vie et être sûr de toujours avoir un toit sur ta tête et de la viande dans le frigo. Tu descends un verre en repensant à tout ça, et tu es fier. Tu n'as pas peur d'affronter ton passé, tu referais tout de la même façon sans plus d'états d'âme. Une cigarette plus tard, tu t'effondres dans ton lit après avoir tangué jusqu'à ta chambre. La nuit sera courte mais tu es prêt pour tout ce qu'on peut t'envoyer, maintenant. tout ?
ok.
essaye de te débrouiller avec ça .
si ça suffit pas les problèmes d'argent, de famille, de couple et professionnels, prends toi une météorite sur le coin du nez, on verra si tu vas continuer de faire le fier. joyeux anniversaire, profite bien de tes 44 piges, on verra si t’arrive à 45.
tu te sens pas très bien. tu te sens mourir. à petit feu. ce foutu caillou te consume de l'intérieur, vole ta vie, vole ta force, vole tout tes efforts ! bats toi. rends les coups. tu va pas laisser un vieux résidu spatial tout gâcher. la guerre est déclarée.personne sait comment t'aider, pas même toi, mais tu vas bien trouver, tu peux pas t'arrêter là. tu fais du sport, du yoga, t'arrêtes la clope, tes proches croient que tu te prépares au marathon mais tu endurcit ton corps pour aiguiser ton mental. tu sais pas exactement ce qui t'as permis de vaincre... Si, si. Tu sais carrément. Tu as décidé que tu allais survivre et pas question d'accepter un autre résultat. Bravo. T'as gagné. L'astre était pas très fort ou... Nan, je vous arrête tout de suite. Tu étais plus fort. Et c'est pas prêt de s'arrêter comme ça. Ceux qui te menacent trop, qui menacent ton bonheur, la vie paisible que tu mérites, tu les écrases. Les astres, c'est devenu une affaire personnelle depuis qu'on a osé s'en prendre à ta vie. Ils veulent la guerre ? Ils l'auront. Pas ces pauvres paumés enrhumés incapable de lacer leurs chaussures, eux au contraire ils font pitié, tu les aides un peu même, tu pourrais peut être en exploiter un pour la chaîne, après tout. Nan, les dangereux, ils sont forts. La plupart du temps tu ne les remarque même pas, tu n'arrives pas à savoir leur vraie nature. Mais à la moindre maladresse, tu leur fait payer cher. Niveau emmerdements, 36 fois la mise.tu l'attends, le prochain obstacle. Alors là. T'es pas au bout de tes peines, c'est une sorte de don naturel, mais tu retombes sur tes pattes, tu le sais. PSEUDO : salut à tous les amis c'est pagure lafarge pokemon on se retrouve pour une vidéo un peu spéciale AGE : toujours 19 on change rien DÉCOUVERTE DU FORUM : jvous aime
bon on se connait déjà un peu alors à la place jvais vous raconter une ptite anecdote vous en faites ce que vous voulez voilà. Un gène chez les mouches s'appelle le gène peter pan car si il a un problème il bloque le développement des mouches et elles restent bloquées au stade juvénile, comme les gamins qui grandissent pas sur l'île à la con là. j'avais envie d'essayer un peu un autre style, je crois que celui là jvais un peu expérimenter avec. dsolé je vous ai encore fait un pavé. |